Parce que Jacques Guillou a bien compris qu’on en avait assez de toujours voir l’amour sous son empreinte américanisée (et donc « nian-nian », cela va sans dire), il a proposé au Studio Théâtre, dont il est le directeur, le travail des élèves du conservatoire : « L’Amour... », un cabaret, dans la plus pure tradition scénique, puisqu’on y mêle chansons, musique, poèmes... Ici, vous vous en doutez, on parle donc bien d’amour, mais - même si le titre du spectacle est écrit sur les brochures en rose bonbon - on ne parle pas pour autant d’amour àl’eau de rose.