Loin des campagnes désertées par des millions de travailleurs migrants, les mégapoles chinoises voient foisonner un art contemporain, inventif et polymorphe...et déjàdévoyé par la spéculation. Pour rendre l’art chinois aux chinois, un baron belge sinophile a financé un musée flambant neuf, sous l’œil bienveillant des autorités.