Aussi éloigné du rôle de travailleur social que de celui de gangster pavé de bonnes intentions, le rappeur Al (membre du collectif Asocial club) se pose là, aux antipodes des perceptions utilitaires et des poncifs tenaces, comme un réverbère dans une ruelle de quartier : assez lumineux pour daigner éclairer sa part d’ombre, mais sans la prétention de vouloir éclairer le monde tel un « spotlight  ». Son troisième projet, « Le pays des lumières  », vient de voir le jour...