Quand l’ombre est percussive, l’Aïnu
Le dernier weekend de septembre a eu lieu la quatrième édition du Aïnu Fest au Zinor, Montaigu. Un mur de son d’ici et d’ailleurs avec des propositions aussi variées que la mitrailleuse d-beat de Më näce jusqu’à un doom très sombre et personnel de la main de Monno qui nous ont fait descendre aux abîmes. Le grand événement du samedi n’a pas déçu avec une salle pleine et motivée pour recevoir les légendes Hammerhead. La bonne combine pour finir l’été : Du soleil, ambiance sympa et prix abordables avec de la bouffe veggie, vyniles, bouquins, sérigraphies... et camping gratuit à côté du Maine.
Xoel Freire
Publié le 17 octobre 2014
Déconstruction et yoga à la Nizanerie
Nizainerie c’est un kiosque avec son espace autour, pour accueillir les activités, les ateliers, les fêtes de voisins, concets et autres. Nizainerie, c’est un endroit de partage pour les gens du quartier République, ouvert en permanence. Construit par un collectif Fil dans le cadre de Nantes Capitale Verte 2013, il a continué son aventure tout au long de l’année. Maintenant, ses éléments constructifs sont pour instant démontes et rangés, pour céder la place à une construction d’une immeuble. Tout de même collectif fil annonce ses démarches pour que le rdc du nouveau bâtiment soit dédié aux habitants du quartier, étant ainsi une pérennisation de la fonction du kiosque qui le précédait. Fragil est venu pour accompagner les travaux de sa déconstruction.
Joanna Pyk
Publié le 4 juillet 2014
Unheimliche et lys d’or
Les nuits se mouvent, les jours se figent. Carlos Salgado, photographe nantais déjà remarqué par Fragil (lire « La fête de la mort et du sexe  ») s’expose à nouveau pour une carte blanche par nuit noire dans ce nouveau portfolio. Ces extraits du « Lys d’or  », série exclusive, sont dévoilés pour la première fois sur Fragil. L’inquiétante étrangeté des flous, des nuits et du corps concentrent l’attention - électrique - d’un flash à courte distance. Cette inconnue virevolte, et parfois même se dédouble. Plus loin, les arbres fondent et la robe rouge s’évapore, laissant seules la brume et la lumière du jour recomposer les lignes de fuite et l’instant figé d’un nouveau matin. Un temps de pause, suspendu à un fil, et une patte : celle d’un artiste photosensible, surtout dans le noir.
Romain Ledroit
Publié le 21 mars 2014
T.K.O : hip-hop à travers l’objectif
Le 22 février dernier se déroulait la compétition T.K.O (Turnable Knock Out) à Stéréolux, dans le cadre du festival nantais Hip Opsession. Retour en images sur les battles de beatboxing et (...)
Pierre Pigeault
Publié le 7 mars 2014