"Ni l’art pour l’art, ni la techno pour la techno" : c’est la profession de foi du collectif d’artistes-programmeurs nantais Digital Slaves. Pour leur cinquième venue àScopitone, ils présentent autant d’expériences sensorielles futuristes. Plongée dans un art technologique, immersif et hallucinant, qui semble annoncer le monde de demain.