Depuis le 9 mars, Fragil suit les manifestations contre le projet de loi travail. Un mouvement qui évolue dans sa forme, surveillé comme le lait sur le feu par le gouvernement qui, àNantes, craint une convergence des luttes sociales entre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes et les mouvements lycéens et étudiants. Le 17 mars, entre 3000 et 6000 Nantais battaient le pavé. Kevin Lemoine était sur place Témoignage.