Publié le 21 août 2009

Timothée Blit

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Des beats et des lights, des astronautes en transe et du champagne au petit matin. Le festival Astropolis a une fois de plus transformé Brest en carnaval electro. Caméra au poing, l’équipe de Fragil s’est frayée un chemin parmi les clubbers, les fluokids et les ravers pour dénicher les nouvelles tendances musicales. Nouvelle scène bretonne, electro du futur et freaks de la nuit, voici le programme :

Trente ans que Sven Väth observe le mouvement techno derrière ses platines. Activiste des scènes acid house et trance, l’excentrique allemand est devenu un archétype de l’electro, le dj star qui électrise les foules. Portrait d’un entrepreneur toujours entre Francfort et Ibiza.

Au cœur de la hype, révolutionné par de nouveaux instruments et l’apport d’autres musiques, l’electro s’est profondément recyclé. Chaque mois, de nouveaux sous-genres redéfinissent les contours de la musique synthétique. En voici quelques exemples, avec illustrations live.

Vent contraire sur la Bretagne. Le phénomène des free-party s’essouffle au profit d’une nouvelle scène, qui reprend le chemin des clubs et s’oriente vers l’electro. Rencontre avec ces activistes de la nouvelle techno bretonne.

A suivre

Freaks du dancefloor et Dionysos en plastique se sont donnés rendez-vous devant le son d’Astropolis. Portraits photos de clubbers éloignés du genre humain.